« Je n’ai jamais adopté la philosophie des heureux du siècle ; elle n’est pas faite pour moi ; j’en cherchais une plus appropriée à mon cœur, plus consolante dans l’adversité, plus encourageante pour la vertu. »
Rousseau, Rousseau juge de Jean-Jacques.
« Je ne suis pas fait pour le bonheur ; c’est un sentiment trop petit. »
F. Tristan, Le singe égal du ciel.
« Accuser les autres de ses malheurs est le fait d’un ignorant ; s’en prendre à soi-même est d’un homme qui commence à s’instruire ; n’en accuser ni un autre ni soi-même est d’un homme parfaitement instruit. »
Epictète, Manuel, V.
« Ne demande pas que ce qui arrive arrive comme tu veux. Mais veuille que les choses arrivent comme elles arrivent et tu seras heureux. »
Epictète, Manuel, VIII.
« J’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir demeurer au repos dans une chambre. »
Pascal.
« Accuser les autres de ses malheurs est le fait d’un ignorant ; s’en prendre à soi-même est d’un homme qui commence à s’instruire ; n’en accuser ni un autre ni soi-même est d’un homme parfaitement instruit. »
Epictète, Manuel, V.
« Ne demande pas que ce qui arrive arrive comme tu veux. Mais veuille que les choses arrivent comme elles arrivent et tu seras heureux. »
Epictète, Manuel, VIII.
« Au lieu de me plaindre de ce que la rose a des épines, je me félicite de ce que l’épine est surmontée de roses et que le buisson porte des fleurs. »
Joubert.
« Je suis heureux toutes les fois que je surmonte quelque chose. »
Beethoven.
« Si tu possèdes un jardin et une bibliothèque, il ne te manquera rien. »
Cicéron.
« Naître, vivre et mourir dans la même maison. »
Sainte Beuve.
« Il n’est pas au pouvoir de notre volonté de ne pas souhaiter être heureux. »
Malebranche, Recherche..., p 6.
« Notre civilisation qui, à mesure qu’elle s’affine, accroît nos moyens de souffrir. »
Louis Lavelle, Le mal et la souffrance, p 37.
« Nous n’avons conscience d’avoir été heureux que quand nous ne le sommes plus. Le bonheur crée entre le monde et nous une harmonie où la conscience tend à se dissoudre. Mais la douleur nous met à part. Nous sommes seuls à souffrir. »
Louis Lavelle, Le mal et la souffrance, p 83.
« La douleur, je la subis, mais la souffrance, j’en prends possession. »
Louis Lavelle, Le mal et la souffrance, p 86.
« On peut dire que la douleur n’intéresse jamais qu’une partie de moi-même ; mais dans la souffrance, le moi est engagé tout entier. »
Louis Lavelle, Le mal et la souffrance, p 88.
« La plupart des hommes mènent des existences de désespoir tranquille. »
Thoreau.