Les courts de tennis vibraient d’une excitation qui ne laissait pas croire que seule une rencontre amicale était prévue le lendemain. Un unique sujet de discussion animait toutes les lèvres : était-il vrai que le capitaine – réputé, preuves à l’appui, imbattable – avait concédé 4 jeux en un set à un inconnu que l’on décrivait facilement comme une force de la nature plus enclin à frapper le plus fort possible dans la balle qu’à réfléchir à une stratégie intelligente ?
Il y eut un soir, il y eut un matin…