Ah la la les partielles, les devoirs, les cours, la lecture, l'écriture, etc... tout ça ne vous laisse pas beaucoup de temps pour exercer d'autres "hobbies" comme les mangas, la peinture ou la "construction" d'attrappes poussières en tout genre, plus particulièrement appellés figurines par les connaisseurs qui en trouvent un peu partout dans les magasins de jouets un peu correct de toutes les tailles - vendables - et d'à peu près tous les degrès de finnesse pour la sculture. Ayant tendance à être un vrai bon à rien quand je suis malade - ce qui est le cas ces temps-ci - je n'ai pas pu l'occasion de faire avancer ma petite collection dont je vous donnerai sûrement de plus amples nouvelles - photos à l'appui - plus tard.
1. lef_flo le 23-12-2008 à 09:29:48 (site)
réponse à la question E) :
"Il y a toujours un peu de folie dans l’amour mais il y a toujours un peu de raison dans la folie…" Nietzsche,
« Soit spontané pour réussir ! "
« On n’a pas de passé, on n’a qu’un avenir. »
: l’important n’est pas ce que les autres pensent mais ce que nous pensons par nous-même.
2. vlad II le 05-01-2009 à 14:37:22
Pour préciser: Louis ne dicte pas ses textes, les fautes d'orthographe lui viennent naturellement. et son ordi bogue à chaque fois qu'il lance la correction automatique...
De plus, il me semble improbable que la maladie de Shin existe, bien qu'à chaque division cellulaire il y a risque de mutation, mais de là à changer la couleur des cheveux et des pupilles...
Bye
Vlad (le seul que tu connaisse)
Ca c'est du commentaire, bravoi Florie je suis très ému - boulversé - par tant d'attention - même si je n'ai pas tout compris.
N'hésitez surtout pas à mettre des commentaires, de tout manière je ne sais pas les enlever...
Imre Haydn.
Shin frappa à la porte du magasin et entra chez le dealer. Imre Haydn faisait profession compositeur-interprète et revendeur d’objet et produit en tout genre allant du paquet de cigarette bon marché au kilo de cocaïne en passant par les guitares électriques et les armes à feu dernière génération.
Richard Allan Dulles.
Le parloir était une pièce simple sans fioritures à l’exception de rideaux de velours noirs. Quand Shin passa le pas de la porte les rideaux étaient tirés et la pièce sombre, un grand homme engoncé dans un manteau de cuir noir l’attendait assis dans un fauteuil. Sa barbe taillé en cercle autour du visage et ses lunettes aux montures dorées lui donnaient un petit air de grand-père bienveillant. Richard Allan Dulles, considéré comme le meilleur détective privé de toute la ville et de surcroît résidant principalement dans la banlieue-est, remit ses fausses lunettes, ferma son manteau, vissa sur sa tête un chapeau de cuir et laissa glisser sur son côté une sacoche noire de laquelle dépassait l’anse d’un parapluie. « Ce drôle de personnage » comme la plupart des journaux de la cité l’avaient surnommé à ses débuts c’était rendu célèbre par l’arrestation – plus que musclée – d’un tueur en série rôdant dans les bas-fonds. On murmurait qu’il travaillait pour le FBI, parfois pour la CIA et de manière plus sporadique en relation avec la NSA ce qui expliquait le nombre de ces déplacements et de signatures sur son port d’arme, de fait particulièrement en règle. Sa réputation de génie s’était étoffée avec le temps mais il avait su rester assez simple – ne mangeant du caviar accompagné de champagne français que deux fois par semaine – et conserver ses réseaux et contacts un peu partout dans la ville, la police, le milieu, le club et la banlieue en générale.
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