posté le 24-01-2009 à 23:50:21

Aimée.

Aimée,
Tes cheveux, branches aux feuilles d'or,
Bruns d'ébènes et blonds des blé,
Auréole de lumière.
 
Aimée,
Ta peau, plus blanche que la neige éternelle,
Douce et savoureuse, tendre,
Masque de beauté scintillant.
 
Aimée,
Tes yeux, vastes océans de perles brunes,
Flammes brûlantes à mon coeur
Doux désert de mon désespoir.
 
Aimée,
Tes lèvres, délicieuses robes de rosées,
Saignante chair de volupté,
Lieux de bonheur et de baisers.
 
Aimée,
Ta taille, élégante et pur,
Fine de forme sous la dentelle,
Paysage de rêve pour un amant.
 
Aimée,
Ton coeur, tambour de mes jours nouveaux,
 Chantante mélodie d'amour,
Coup si beau d'amour et si fatal.
 
Aimée,
Toi, prunelle de mes yeux aveugles,
Ma seule vie, mon bonheur,
Amour qui peut seule me sauver.
 
Aimée, aimée, contempler et rêver,
Aimée, sont plus difficiles actions,
Aimée, pour un amant que pour un aimé.
 


 
 
posté le 24-01-2009 à 23:32:55

L'exil d'un dadaiste.

Disparu, oublié, bon à rien,
Seul enfin, spadassin, moins que rien,
L'exil au milieu d'eux, cascadeurs
Aux bons coeurs, troublantes femmes à fleur.
 
Le Temps, parfois, nous dévalise
O douce France de mes rêves
Qui vit à une heure de moi,
Je suis à des années de toi.
 
Exil funèbre, voiles d'ombres
Dans une vie de bonheur d'ambre
Je vole, mes humeurs funestes
M'entraînant loin de toi, Alceste.
 
De ma classe rien ne me rappelle
Les doux empressements de celle-ci
Camarades, amis, poètes,
Où sont-ils, mes tristes Electres.
 


 
 
posté le 24-01-2009 à 12:41:55

O toi...

O toi merveille, angélique et poétique...
O toi paysage de la beauté humaine...
 
O toi amour, Cupidon fait femme...
O toi, belle colombe de l'aurore...
 
O toi déesse blanche, feu indomptable...
O toi, à ta figure boule de neige.
 
O toi féérique amante impossible,
O toi, à ton cou rieur, ô toi...
 
O toi mon aimée, ma tendre, ma douce...
O toi mon Emmanuelle. 
 


 
 
posté le 24-01-2009 à 12:36:54

Salut Vladounichou-chéri (sans "e" - avec sa serait bizzare) tu vas bien, oui ? Dommage. Bon, donc poursuivons la maladie de Shin n'existe peut-être pas mais c'est le propre d'un roman, non ? Tu as écrit, imaginé, etc... bien pire (dois-je te rappelais tes deux nouvelles) et de manière bien moins réaliste (ce qui n'est pas peu dire). Je te demanderais donc de ne pas oublier tes propres limites et de ne critiquer que ce qui l'est.
 


Commentaires

 

1. Vlad II  le 29-01-2009 à 13:34:37

Et voici quelque messages personnels...

1-La première nouvelle que j'ai commise était sans conteste nulle, mais tu lui a pris son titre pour en faire le nom de ton blog.

2-La seconde était également improbable, mais reprenait à la fois les personnages et l'univers d'une des tiennes.

3-Tu en est à ta nouvelle numéro combien, déjà? 3 ou 4?

A ceux qui se contrefoutent de mes commentaires et de mes réponses, je dirai que oui, c'est ininterressant, oui c'est puéril, oui c'est même malvenu sur un blog, mais vous aviez qu'à pas lire, je ne vous y ai pas forcé.

Vlad

2. Vlad II  le 29-01-2009 à 13:44:12

Et voici quelques messages personnels...

1- Ma première nouvelle fut j'en convient désastrueuse, toujours est-il que son titre était littérature assassine est que je l'ai écrite en 2006. je n'osais te le rappeler.

2- la deuxième était également médiocre, cependant tu n'est pas sans savoir que j'avait repris l'univers et les personnages de ta nouvelle à toi.

3- tu as écrit rappelais, je pense devoir comprendre rappeler. comme quoi je n'ai pas forcément tort sur tes fautes d'orthographes

4- tu me connais suffisamment pour savoir que je n'ai pas de limites.Rire
oui bon d'accord celle là. et encore.

A tout ceux quio ne sont pas concernés: oui c'est puéril, oui cela n'a rien à faire dans un blog, uoi je ferme ma queule, mais je ne vous ai pas obligé à lire les commentaires.

Vlad

3. Vlad II  le 29-01-2009 à 13:51:49

euh désolé y aeu un pitit problème... on peut pas être parfait.

 
 
 
posté le 24-01-2009 à 11:06:22

Amours mélancoliques.

Si j'avais su que, un jour, je voudrais pleurer
Mais que les yeux secs et le coeur mis en peur
J'aurais voulu l'oublie dans un espoir sauveur ;
Jamais je n'aurai crier  vers toi pour t'aimer.
 
Je t'aimais, peut-être, mais tu m'en a trop fait
En effet je ne puis résister, c'est un fait,
Partout ; toujours l'amour pour toi est sans valeur
Tu ne comprends jamais, pour moi tu viens d'ailleur.
 
Et pourtant, je voudrais t'aimer toute ma vie,
Je voudrais pouvoir t'offrir des perles de pluie
Découverte au désert de ma mélancolie.
 
Le temps passe et nous écarte mais l'envie
Au coeur de mon malheur présente, toujours
Me mènera à demeure de ton amour.
 


Commentaires

 

1. Sido-nie  le 03-04-2009 à 05:53:48  (site)

bonjour à toi Ô poète...
Ca fait du bien de trouver enfin un blog avec des vrais textes et de jolis poèmes.
je n'ai pas encore tout lu et j'ai un peu de mal à suivre mais je lirai tout et je me permettrai de te dire ce que j'en pense en "collègue".
merci d'être là

 
 
 
 

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